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Mary Craig nous livre ici un ouvrage très personnel : celui d’une mère de deux enfants handicapés qui, par le plus grand des hasards, va apprendre l’existence de la Communication Facilitée, un moyen de permettre aux personnes sans voix de s’exprimer. Au début sceptique, puis fascinée, elle décide d’approfondir ses recherches sur cette méthode de communication étonnante et d’en rencontrer les inventeurs et les adeptes. Avancée révolutionnaire pour certains, « supercherie » pour d’autres, la Communication Facilitée consiste à accompagner physiquement la personne privée de parole (autiste, handicapée moteur / mentale…) pour qu’elle s’exprime par l’intermédiaire d’un clavier. Mary Craig retrace l’histoire de ce moyen d’expression, en apparence simple, qui permet à de nombreux individus jugés « en déficience mentale » de communiquer des pensées et des émotions dont personne, pas même leurs proches, ne soupçonnait l’existence. Et si, derrière leurs comportements déviants et leur incapacité à s’exprimer oralement, la majorité de ces personnes étaient aussi intelligentes que vous et moi ? En s’appuyant sur de nombreux résultats, ce mode de communication remet en question bon nombre de croyances et nous conduit à nous interroger sur le fonctionnement du cerveau. Un ouvrage poignant et profondément humain sur un combat admirable, une main tendue vers les personnes privées de parole.

Editeur Dauphin – 2018

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Des praticiens écrivent…

Il y a en chacun un merveilleux potentiel d’amour qui se manifeste dès que s’ouvre un espace propice à
son expression. La Communication Profonde Accompagnée ouvre un tel espace. Grâce à cette forme
particulière de communication, la main devient messagère du coeur. Au-delà des souffrances traversées, le
mot parle de l’être, l’être dans son appartenance à une lignée, à un contexte culturel et, plus profondément
encore, dans son appartenance à l’univers, au cosmos, au Tout.

Ed. Quintessence – 2009

L’aventure de la rencontre avec des personnes privées de parole puis avec les parties muettes de nous-mêmes se déroule de façon imprévisible. Au fil des pages, l’auteur relate les aléas de ces Voyages en Psychophanie, rassemblant les impressions de ses expériences vécues ici et là, anciennes ou récentes et en proposant des explications provisoires à partir de la réalité des événements saillants de l’aventure. L’analyse du fonctionnement de la méthode employée pour aborder l’autre et des productions et comportements que révèle cette pratique de la relation entre des personnes dites ” valides ” et d’autres dites ” invalides “, permettent de comprendre la nécessité d’une reconnaissance de l’être des personnes privées provisoirement ou durablement de l’usage de la parole. La confirmation, peut-être aussi, de l’incapacité de ceux qui parlent bien, à communiquer en vérité.

Pour commander, écrire : Patrice Leroux

Editions Terres de Braise – 2005

Voici l’essai d’un éducateur spécialisé confronté à l’isolement de jeunes autistes profonds. En 1995, il rencontre la « communication facilitée », méthode alternative de communication qu’il pratiquera au quotidien pendant 10 ans. Cette approche lui permettra d’ouvrir les brèches d’un chemin de communication, et ce malgré les difficultés. D’abord sceptique, c’est sa pratique qui l’amène à découvrir et expérimenter ce mode de communication, certes déroutant. Pourtant les résultats sont là… Du vécu s’écrit sur le clavier, des émotions s’expriment, des faits inconnus se révèlent, des crises trouvent leur apaisement et une relation de confiance prend forme, semaine après semaine. L’auteur, formateur dans cette pratique de relation d’aide, parle de ses limites et de la nécessité d’une exigence éthique rigoureuse, indispensable.

Pour commander, écrire : Michel Marcadé

Ed.Edilivre – 2014

La communication d’inconscient à inconscient est un mode de relation entre humains. Elle peut aussi être un outil thérapeutique face à des souffrances qui semblent incompréhensibles. Depuis quelques années, des accompagnants tentent de franchir les barrières de l’autisme : un clavier d’ordinateur devient le lieu de rencontre entre deux inconscients, et un vecteur de parole (la communication facilitée). Peu à peu, certains de ces accompagnants ont eu accès à des matériaux psychiques plus profonds. Ce procédé est devenu alors un outil d’exploration du psychisme. Il a été nommé psychophanie par Anne-Marguerite Vexiau. Sensible à l’inertie et aux résistances inhérentes au cadre analytique, Philippe Sieca s’est interrogé sur les limites des modalités thérapeutiques classiques. C’est pourquoi il a expérimenté d’autres outils, comme la psychophanie, qu’il a introduite dans sa pratique quotidienne de thérapeute. Il montre dans ce livre que l’utilisation de cette technique peut être conceptualisée et utilisée à des fins thérapeutiques de façon très efficace ; il légitime ainsi cette greffe à l’intérieur de cadres thérapeutiques classiques avec toute la rigueur et les précautions dont doit bénéficier la relation d’aide. Ce livre relate une aventure sans précédent. Il ouvre de nouveaux horizons thérapeutiques et un renouvellement du questionnement sur le psychisme humain.

Ed.Le Souffle d’Or – 2006

À travers le récit de ses expériences personnelles en tant que praticienne de la relation d’aide, l’auteur nous
fait découvrir tous les drames mais aussi toute la richesse du vécu de ses patients, et comment elle permet
à chacun de sortir de l’état de victime afin de pouvoir guérir et reprendre sa vie en main. Ces différentes
«histoires de vies» témoignent de la façon dont, sans passer par le mental, elle accède à un registre
émotionnel et affectif d’une personne en mal-être psychique, indicible par la parole. Ainsi, elle lui permet de
laisser s’exprimer une autre dimension d’elle-même, plus intime, plus proche du cœur de l’être. En abordant
des sujets aussi importants que l’anorexie, les troubles du comportement, l’inceste, le deuil ou la fin de vie,
l’ouvrage revisite les différents modes de «communications écrites» et place ces thérapies dans une
optique «psychothérapeutique», sans nier le côté irrationnel qui n’échappera pas au lecteur. Cependant les
résultats sont là et, de toute évidence, ils sont toujours positifs et étonnants.

Pour commander, écrire : Arlette Triolaire

Ed.Le temps présent – 2014

A la recherche des moyens de communication pouvant aider les autistes sans parole. Anne-Marguerite Vexiau, orthophoniste de formation, est partie en 1993 pour l’Australie apprendre la «communication facilitée». Elle s’est ainsi laissé entraîner dans une aventure extraordinaire qui ne cesse de lui faire découvrir des possibilités insoupçonnées chez tous les êtres humains. C’est ce qu’elle relate ici, en ayant le courage d’explorer des vérités qui dérangent.

La technique paraît simple : un partenaire, appelé facilitant, soutient la main d’une personne pour l’aider à s’exprimer sur un clavier. Mais il semble qu’au-delà de l’appui qu’apporte le facilitant, celui-ci serve de médiateur et transcrive les images mentales que lui envoie son patient. Quel que soit son âge, son niveau intellectuel ou l’atteinte de son cerveau, la personne handicapée peut manifester ses émotions. Des sourds, des non-voyants, des comateux, des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer restent ainsi en relation avec leurs proches.

Anne-Marguerite Vexiau a ensuite proposé cette approche thérapeutique à des personnes valides présentant des difficultés psychologiques, en lui donnant le nom de psychophanie (du grec phan, «mettre au jour»). Elle a obtenu des résultats rapides et surprenants, et apporté un nouvel éclairage sur la transmission des traumatismes au sein des lignées, la communication à distance entre les êtres, la conscience des bébés et même des embryons. Le présent essai ouvre donc une porte sur les mystères du psychisme humain et les formes collectives de l’inconscient : «une découverte aussi importante, écrit Didier Dumas, que celle que fut, au siècle dernier, la psychanalyse».

Editions DDB – 2002

“Je choisis ta main pour traverser la mort et faire mourir la mort, et faire changer la vie.” Charlotte, 11 ans.

Anne-Marguerite Vexiau fait un travail extraordinaire avec des enfants, des adolescents, voire des adultes, autistes, trisomiques, polyhandicapés, etc. Ces êtres privés de parole le plus souvent parviennent à taper sur un petit ordinateur, légèrement soutenus au niveau de la main par le “facilitateur”,, les phrases, les mots les plus bouleversants.
La méthode – la communication facilitée – provoque encore rejets et polémiques car elle remet en question tout ce que nous croyons savoir sur l’enfant, le langage, l’inconscient. Mais il faut avoir VU la joie de ces êtres, leurs visages illuminés, les progrès qu’ils font d’une séance à l’autre pour se convaincre du bien-fondé de la méthode et du témoignage d’Anne-Marguerite Vexiau.
Joëlle de Gravelaine.

Ed. Robert Laffont / 2005

Qu’est-ce que la conscience ? Où se situe l’inconscient? Le corps qui somatise son mal-être par une pathologie reflèterait-il le «langage» de cet inconscient et, si oui, comment le décoder ? La « Communication Profonde Accompagnée » que pratique l’auteur

qui relient le corps et • l’âme permet d’accéder aux émotions ou traumatismes psychologiques enfouis depuis l’enfance qui se répercutent jusque dans la santé physique ou psychique de l’adulte.

Par des explications simples, l’auteur établit ici un parallèle entre le processus induit dans cette méthode de communication « non-verbale » et la théorie quantique connue de la science depuis près d’un siècle.

L’émergence croissante de cette «nouvelle physique» démontre que tout est connecte à différents niveaux de l’invisible. La «Communication Profonde Accompagnée», qui permet l’expression de l’inconscient au moyen d’un clavier, pourrait donc se définir comme une thérapie quantique dans la mesure où elle donne accès à tous les aspects de l’homme.

A partir d’exemples vécus par certains de ses patients, l’auteur montre l’importance de recréer le lien entre les maux du corps, l’émotionnel remonté du profond de l’âme et la transformation opérée par l’esprit qui permet la libération des blocages de l’être. Cette

reunification «corps-âme esprit» ré-harmonise l’humain dans son Unité et le conduit alors à son auto-guérison.

L’auteur :
Arlette Triolaire accompagne depuis plus de 17 ans ceux qui sont dans l’épreuve, quelle qu’elle soit, à travers une association d’aide à la personne.

Son action personnelle s’appuie sur divers enseignements spiritualistes (christianisme, bouddhisme, judaisme), puis thérapeutiques.

Elle est Praticienne en «Communication Profonde» depuis 2003 et Formatrice dans cette méthode depuis 2009.

 

Pour commander, écrire : Arlette Triolaire

Ed.Le temps présent – 2011

Des personnes facilitées écrivent…

Claire Buisson est mariée avec Georges. Elle a mené sa vie comme un combat pour vivre et trouver sa place.
Son livre raconte la vie de quelqu’un qui adore la Vie avec tous ses combats. 
Elle est engagée dans l’association qui promeut la Psychophanie, tant au plan local que national .

Ce livre est écrit par Yves Champagne, reconnu handicapé intellectuel et atteint de mutisme. Grâce à la technique de la communication facilitée et à la psychophanie, il a pu transmettre son témoignage, ” Je suis heureux de transmettre avec mes écrits le contenu de ma conscience profonde qui était enfouie depuis si longtemps. Je voudrais faire profiter mes compagnons d’infortune de cette expérience qui m’a rendu ma liberté et permis de communiquer avec les “normaux”. C’est juste un très beau cadeau de la vie. Je le dois à maman qui m’a offert cette facilitation et cette ouverture au monde de ceux qui nous oublient ou nous regardent avec dédain. Ouvrez vos yeux et votre coeur pour entrer en communication. “

Yves Champagne, né en 1963, est l’ainé de trois enfants. Il est reconnu handicapé intellectuel à 80% et a passé toute sa scolarité en classes adaptées. Il travaille depuis 1993 à l’E.S.A.T. Le Chêne, à Rambouillet, où il occupe un poste au sein du restaurant d’application. Monique Champagne-Moreau, infirmière et assistante sociale, a découvert la communication facilitée et la psychophanie, des outils de communication destinés aux personnes privées de parole.

Aller au-devant des autres et demander la reconnaissance de mon existence d’homme à part entière.
Le livre qui va sortir sera une révélation pour beaucoup, certains auront du mal à croire que ce qu’ils liront vient bien de moi et pourtant c’est vrai, difficile à prouver. Ceux qui se laisseront toucher par mes mots seront récompensés car mes mots toucheront leur corde sensible, la corde du cœur qui ne demande qu’à vibrer en chacun de nous, c’est propre à l’être humain et tous les êtres sensibles seront touchés par mes mots et mon histoire. Ceux qui connaissent  qui seront surpris mais seront heureux de trouver un nouveau témoignage d’un des leurs et ils applaudiront. Yves Champagne

Ed. Grandvaux – 2018

Avec son livre À l’écoute, Colette nous fait partager sa vie de tous les jours.
Comment après un grave accident de la circulation (coma, traumatisme crânien, fractures multiples, aphasie…) elle est, grâce à la communication facilitée, sortie de ses boules de terreur et de peur pour s’intéresser à la vie et à celle des autres.
Totalement dépendante et mutique, elle nous parle de cette expérience hors du commun qu’est sa vie, de son état, de cette lumière qui la soutient et lui permet de continuer, dans la joie de l’échange et des rencontres, son « passage sur cette terre », tout en se sentant à nouveau à sa place dans ce monde. Et utile aux autres.
Edilivre – 2018

Emmanuel a 18 ans. Il est autiste. Un mot pour tout résumer. Il souffre de “graves troubles du comportement”. C’est la formule usuelle pour commencer à préciser le diagnostic. Autant dire qu’il souffre. Et qu’il ne parle pas. De nombreux jours, de nombreuses nuits, ont été pour lui bien difficiles à vivre. Beaucoup ont été effrayants. Pour évoquer 18 ans de désastre quotidien, il faut se contenter d’un mot ou il faut en faire un livre. Ce travail semble traduire l’alternance ou le chevauchement de différents niveaux de conscience. Il offre avant tout à Emmanuel le moyen de s’exprimer sur des registres émotionnels et affectifs qui autrement resteraient douloureusement méconnus.
Editions du Champ social – 2000

Née le 2 octobre 1983, trisomique, autiste et mutique, elle communique avec ses parents par l’intermédiaire d’un ordinateur grâce à une méthode appelée Communication Facilitée (C.F.). Grâce à cette méthode, quelle n’a pas été la surprise de ses proches  en découvrant sa grande richesse d’âme. L’émerveillement se poursuit depuis 1998 année où ils ont découvert cette méthode. Elle a écrit cinq livres dont celui cité plus haut. Elle a reçu plusieurs prix de poésie.

Editions des écrivains – 2003

Remi Doudiès est né le 1er octobre 1992. Un accident de naissance le fait entrer dans la vie avec l’étiquette IMC. À sept ans déjà il sait se faire comprendre: il veut être écrivain. Il vit dans un petit village des Monts du Matin, dans la Loire: Saint-Cyr-de-Valorges. C’est en 2006 que la rencontre avec Bertrand Lepercq et la communication facilitée lui permettent d’écrire ses premières lignes avec enthousiasme. Alain Pouillet, artiste peintre et ami de la famille, lit ses premières pages et lui propose d’illustrer ses pensées, ce qui le comble de joie. Le projet prend forme dans la complicité de leur relation.

Ed.La rumeur libre – 2011

Une mère découvre en 2002 une méthode, la Communication Facilitée, qui permet à son fils autiste de s’exprimer. Après une période de questionnements, et à la demande de Maxime alors âgé de 17 ans, ils témoignent et donnent des conseils concrets pour pratiquer cette méthode. A-t-on le droit de les priver d’un nouveau moyen d’expression et de reconnaissance de leur intelligence, parce que la science n’a pas encore pu réaliser les recherches adéquates ? Pourquoi taire une vérité factuelle vécue tous les jours ?

L’Harmattan – 2012 

 «Depuis que j’ai cette possibilité d’écrire sur l’ordinateur grâce à la Communication Facilitée (CF), j’ai pu laisser s’exprimer toute ma
sensibilité et ma poésie intérieure. En m’inspirant de mon
vécu, de mes observations de la nature et des rencontres en lien avec mes
centres d’intérêt, a germé en moi l’idée de partager mes poèmes. J’ai commencé par en écrire pour des personnes en souffrance ayant perdu un membre
de leur famille, et puis j’en ai écrit par rapport à mes propres souffrances. Et j’ai
eu besoin de clamer cette injustice ressentie si fréquemment. Oui mais voilà,
écrire juste un livre de poésies était insuffisant. Pour faire le lien entre l’aspect
poétique et la réalité parfois complexe, parfois merveilleuse de ma vie, j’ai souhaité associer un écrit à un poème. Et comme j’aime les couleurs, la lumière, et que m’exprimer librement passe aussi par la voix, la musique, mais aussi la peinture et le dessin, j’ai décidé d’associer poésie, texte et couleur.
L’ordre des poèmes a été aussi objet de réflexions et comme j’aime la vie, comme j’aime la nature, j’ai choisi de suivre les étapes du déroulement d’une vie, tout le long des 20 chapitres, chacun étant construit autour d’un poème. Voilà comment est né mon livre : « Envie de paroles, paroles de vie »

Commande  auprès de :genevievelory@hotmail.fr

 

« Je suis Paul Melki. Mes amis m’appellent Paulo.
En 1986 je suis arrivé ici-bas. Vous ne pourrez pas deviner dans mon image l’espace de mon esprit. Il me faut un peu de temps pour créer des couloirs tressés de lianes au-dessus des réseaux de mon cerveau. Le cri, mon cri est ma carte d’identité devant l’éternité du silence infernal de la solitude.
Le cri, folle distorsion du silence.
Le cri de Paul, vagissement excentrique, appel impudique à la régression sonore.
Le cri puise ses racines au plus profond de ma nudité, de ma mémoire de survivant.
Grenade jetée à la face des citadelles bruyantes où siègent vos orifices vocaux si facilement ouverts. »

Avec son Journal de bord d’un détraqué moteur, Paul Melki, 17 ans, nous offre  un texte d’une langue simple et limpide. Un adolescent formidablement doué pour l’écriture y crie son envie de vivre, sa rage de se faire entendre, son amour des mots et de la belle langue. Paul Melki, pluri-handicapé, ne peut ni parler ni marcher .Son journal de bord ne demande ni compassion ni pitié. Pétri d’humour et de fierté , il constitue un extraordinaire document sur la force de la littérature et la volonté, malgré tout , de vivre.

Ed. Calmann-Levy & Livre de Poche 2005

« Ecrire est pour moi , a été et sera toujours une manière d’accoucher de ma propre essence et de ma propre nature , malgré les fils coupés ou difficiles à relier dans mon cerveau.Je suis d’abord relié avec mon cœur de vibrations , et ce sont mes vibrations du cœur qui me meuvent et font avancer en premier lieu mon navire.Mon esprit complète et met en mots ma pensée. Je crois que c’est un pas à faire , dans cette avancée en eau profonde , que de me dévoiler . »

Ed.Copymedia – 2015

Une première vague submersive et mystérieuse réunit sur une plage de sable fin deux jeunes êtres, Victor et Lovan, dont le Tissage des cœurs va leur permettre de transformer la souffrance terrestre en un divin espoir.
Une deuxième vague océanique les entraîne à la découverte d’un monde céleste avec un vieux Sage tenant le quartz rose de l’Éveil, une cascade d’eau pure et des animaux paisibles d’une blancheur symbolique.
Une troisième vague divine les transporte au pied d’un chêne majestueux où se dévoile l’Histoire de l’Âme du Monde.

Un merveilleux, captivant et purifiant voyage au travers de l’univers proposé par Olivier Meynier dans ce troisième ouvrage.

 Ed.Lanore – 2019

Un chemin de langage dans le lacis de l’autisme paru en décembre 2007, retrace l’histoire d’Anne-Christine, reconnue autiste et privée de langage depuis l’âge de trois ans. Elle a déjà 42 ans lorsqu’elle accède à la communication facilitée. Se révèle en un éclair une personne inconnue de ses proches comme d’elle-même, elle s’affirme consciente d’un étrange mal et de tous les efforts inlassablement engagés pour l’en délivrer, demandant alors à son père : “Ecris un livre sur moi, j’existe”.
Les séances d’accès à cette communication se poursuivent chaque semaine, les textes se multiplient . « Grande joie de faire cavalcader ma main pour lettre vraie posée sur tableau de bord de vie. Mot est lien pour dire lieu de jonction de vies …Paroles écrites sont preuves que pensée et compréhension sont en moi . »

Ed L’Harmattan – 2010

Katia Rohde est autiste. Considérée comme ” handicapée mentale ” jusqu’en 1994, elle fréquente des institutions spécialisées jusqu’au jour où une éducatrice, Marie, découvre, grâce à la méthode de ” communication soutenue “, sa vive intelligence et sa prodigieuse mémoire. En fait, à l’insu de tous ceux qui la côtoient, Katia sait lire depuis très longtemps sa langue maternelle, l’allemand. Elle connaît aussi le français, l’anglais, l’arabe, a des notions de latin, de russe, d’italien et même de suahéli… ! Avec l’aide de sa mère, Katia écrit alors son ” autobiographie ” – racontant ses terribles tourments, livrant ses étranges sensations, ses désirs inassouvis. Murée dans son silence, enfermée sous le regard des autres, Katia le hérisson – c’est ainsi qu’elle se surnomme – nous offre dans ce texte d’une grande richesse poétique, nourri d’images singulières, un témoignage exceptionnel sur la vie intérieure d’une autiste. La passion de l’écriture ne quittera plus Katia Rohde et Métamorphoses, ensemble de nouvelles s’inspirant d’Ovide, viennent aujourd’hui confirmer son insolite et étonnant don littéraire.

Ed. Imago – 2006

Un autiste raconte son combat pour rejoindre notre monde.
On le prenait pour un débile profond. jusqu’à ce qu’on le mette devant un clavier d’ordinateur. Grâce à la ” communication assistée “, on s’est rendu compte que ce jeune autiste savait lire et écrire, que c’était un être intelligent et sensible. Dans
Une âme prisonnière, Birger Sellin dévoilait son univers. Dans ce deuxième livre, il raconte son combat pour l’autonomie. L’écriture l’a aidé à sortir de son terrible isolement, mais il veut aller plus loin et s’intégrer à la société. Il se frotte donc au ” peuple du monde d’en haut “.
Dans une langue unique, débarrassée de toute convention et atteignant parfois à la poésie, il exprime sa souffrance, ses joies, ses colères au contact de cette société dans laquelle, déserteur parmi les autistes, il fait ses premiers pas.

Ed.Robert Laffont – 1998

« Je suis heureuse de vous accueillir dans mon chez-moi. Je désire faire part au monde de ce que nous, cabossés, vivons dans notre quotidien : nos combats, nos victoires ainsi que les questions que nous nous posons face à cette vie. Je souhaite partager ce que nous pouvons apporter au monde qui nous accueille malgré tout. Mon corps ne me permet pas d’écrire toute seule. C’est donc un facilitant qui a permis l’écriture et le partage de mes instants de vie que vous allez découvrir en ouvrant votre coeur au mien. ».
Ce livre a été écrit grâce à la Communication Facilitée, une technique qui permet à une personne privée de parole de s’exprimer au moyen d’un clavier avec l’aide d’un facilitant qui lui soutient la main. On y découvre l’incroyable histoire de Caroline, une jeune femme polyhandicapée pleine de vitalité et de projets qui, grâce au concours de son entourage, vit en appartement depuis 2013. C’est une première en Suisse romande ;
La preuve aussi que grâce à la Psychophanie, une approche thérapeutique qui complète la Communication Facilitée, tout un chacun peut faire connaître ses aspirations profondes et renforcer son autodétermination.
L’histoire de Caroline est une magnifique ode à la joie, un cri du coeur pour dire toutes les richesses des personnes vivant avec un handicap. Pour une fois, on assiste à un renversement des perspectives : c’est Caroline qui nous prend par la main pour nous guider.
Avec humour et lucidité, elle donne moult conseils aux « valides » pour les amener à porter un regard renouvelé sur la personne en situation de handicap.
L’ouvrage est complété par une présentation de la Psychophanie et de la Communication Facilitée ainsi que d’un éclairage de son entourage sur les enjeux de la relation d’accompagnement vécue dans la confiance et le renforcement de l’estime de soi.Parution décembre 2020 – Editions Saint Augustin

Des parents écrivent…

Un accident de voiture est imprévisible, ses conséquences le sont aussi, surtout lorsque le cerveau est sévèrement atteint. Que devient alors la conscience ? Ce livre est un authentique et stupéfiant témoignage d’une jeune maman Oriane, qui a survécu pendant 15 ans à son accident et aux lourdes séquelles d’un très sévère traumatisme crânien. Privée de parole et de ses principales facultés corporelles, elle est restée en apparence plongée dans un état d’inconscience totale, celui des êtres en état végétatif chronique. Pourtant, grâce à une technique d’écriture révolutionnaire décrite dans ce livre, elle témoigne qu’une vie intense, riche de réflexions lucides et profondes, peut être présente chez des êtres physiquement diminués et incapables de communiquer. Ses récits sont étonnamment proches de ceux qui nous sont racontés par les nombreuses personnes ayant vécu des expériences de mort provisoire, pendant un coma, une opération chirurgicale sous anesthésie, une chute brutale, ou lors d’un AVC. Enrichi par de récentes découvertes scientifiques, ce témoignage nous conduit vers la conviction que la conscience n’est pas enfermée dans le cerveau, même lorsqu’il est partiellement détruit et inapte à fonctionner. Le cas d’Oriane en est une preuve manifeste.
Préface du Docteur Jean-Jacques Charbonier

Ed.le Dauphin – 2019

Annick a trente ans. Elle est autiste, mutique et dépendante pour de nombreux actes de la vie courante. Pourtant, sa mère a toujours cru en son intelligence. Après avoir essayé, sans succès, de multiples moyens pour communiquer, la découverte de la Communication facilitée a bouleversé toute leur vie : familiale, personnelle et sociale. Aujourd’hui, Annick manifeste ses choix, ses sentiments, ses idées sur le monde qui ne lui est pas aussi indifférent qu’elle le laisse paraître. Selon les mots mêmes d’Annick, il est ” urgent de réveiller les gens. Ils ont besoin de tout comprendre avec la tête, et le cœur on le croit moins intelligent. Les acteurs de vie raisonnable demandent toujours les preuves aux choses qu’ils ne comprennent pas “. Pourquoi priver d’un tel bonheur les personnes bloquées dans leur communication ? ” Vacherie d’ignorance fait souffrir autant les handicapés que vous autres. ” ” Avantagez-moi en raflant mes textes aux autres gens. ” C’est pour répondre à cette demande d’Annick que sa mère livre son témoignage. Pour dédramatiser le handicap, réconforter de nombreux parents et révéler à tous un monde différent aux richesses insoupçonnées. Les messages poignants d’Annick interpellent : ” Moi je cache mon esprit sous un habit de fille bête. J’aimerais exister comme tous les gens. Réalisez-vous que moi je suis vite dame alors que je reste enfant. Maladie empêche dame de grandir. Facile de croire que moi je indiffère. Faux. ” La CF nous renseigne, nous déroute, nous éclaire, nous exalte. Elle nous apporte aussi la souffrance de la personne handicapée à l’état brut. Il faut le savoir et se préparer à cela. ” Maman je t’aime fort car tu ne sapes pas mes espoirs. J’ai galvanisé ma peur. Je guéris mon autisme inutile. Je veux goûter la vie. ” A l’heure où le mot handicapé semble être banni par les hommes de loi eux-mêmes (arrêt Péruche), ce témoignage rend toute sa dignité à la personne handicapée.

Ed .le Sarment le Jubilé – 2002

Anne-Christine perd le langage à l’âge de trois ans et devient étrange, considérée atteinte de schizophrénie, puis d’autisme, un entrelacement de phénomènes angoissants toujours renaissants de jour et de nuit. Anne-Christine a 42 ans lorsqu’elle rencontre la communication facilitée, méthode désormais largement utilisée. Si l’autisme n’est pas pour autant vaincu, les comportements aberrants sont peu à peu explicités.

Ed. L’Harmattan / 2007

Tu, nous, moi, elle, eux.. Il s’agit du parcours, du chemin d’une femme et d’un homme, d’une famille qui bascule à la naissance de leur deuxième enfant né microcéphale. Entre désespoirs et opiniâtreté, entre colères et abdications, Marie raconte  toute l’histoire qui l’entraîne sur les traces des femmes de sa famille sur plusieurs générations. Et puis, voilà qu’un jour, on découvre une méthode grâce a laquelle mère et fille peuvent rentrer en communication. Se révèle alors la magnifique et poétique aventure de la parole redonnée et de la redécouverte d’une intégrité. Un livre d’abord à une seule voix, puis à deux voix qui se répondent avec respect et amour jusqu’à ce que chacune soit véritablement soi-même. Une histoire qui touche, questionne et appelle un changement de regard.

Editions Terre de Braise – 2006

D’autres regards sur la psychophanie…

Dans la nuit, un homme se meurt après avoir été torturé. Seul témoin de la scène, son fils Théo. Sa vie est épargnée parce qu’il ne représente pas pour l’assassin une menace réelle : enfant polyhandicapé, Théo est privé de parole. Alors que la capitaine Sybille Lievic prend en charge l’affaire, Emma, l’orthophoniste du garçon, retrouve son jeune patient terriblement anxieux. Pour le calmer, elle expérimente avec lui une méthode contestée en France : la communication facilitée. Peu à peu, l’enfant raconte ce qu’il a vu ce soir-là. Emma ne se doute alors pas qu’en recueillant son témoignage, c’est sa propre vie qu’elle met en danger.

Roman policier
Ed. Ravet-Anceau – 2018


Mary Craig nous livre ici un ouvrage très personnel : celui d’une mère de deux enfants handicapés qui, par le plus grand des hasards, va apprendre l’existence de la Communication Facilitée, un moyen de permettre aux personnes sans voix de s’exprimer. Au début sceptique, puis fascinée, elle décide d’approfondir ses recherches sur cette méthode de communication étonnante et d’en rencontrer les inventeurs et les adeptes. Avancée révolutionnaire pour certains, « supercherie » pour d’autres, la Communication Facilitée consiste à accompagner physiquement la personne privée de parole (autiste, handicapée moteur / mentale…) pour qu’elle s’exprime par l’intermédiaire d’un clavier. Mary Craig retrace l’histoire de ce moyen d’expression, en apparence simple, qui permet à de nombreux individus jugés « en déficience mentale » de communiquer des pensées et des émotions dont personne, pas même leurs proches, ne soupçonnait l’existence. Et si, derrière leurs comportements déviants et leur incapacité à s’exprimer oralement, la majorité de ces personnes étaient aussi intelligentes que vous et moi ? En s’appuyant sur de nombreux résultats, ce mode de communication remet en question bon nombre de croyances et nous conduit à nous interroger sur le fonctionnement du cerveau. Un ouvrage poignant et profondément humain sur un combat admirable, une main tendue vers les personnes privées de parole.
Editeur Dauphin – 2018